Loutreuil suite presse

 

Le Journal de l'Orne, numéro du 19 septembre 1925

LE COMIGE AGRICOLE CANTONAL

Dimanche a eu lieu à Sées le Comice agricole

du canton. C'est l'un de.s concours privilégiés

grâce aux libéralités de M. Auguste Loutreùil, le

grand industriel, qui dota très largement lu département de l'Orne de près de trois millions de

diverses donations.

M. Auguste Loutreùil, qui était né le 6 Décembre

iS33 à Neuville-près-Sées, fils d'un 'maréclial-leri-ant, s'expatria, et. s'installa à Moscou ; il pensait

à la France et en 190-4 il se fit inscrire comme

membre de la Société d'Agriculture de l'Orne,

qu'il dota de diverses sommes pour encourager

l'agriculture ; lorsque survint son décès, il n'avait

point oublié l'agriculture ornaise et il la dota très

largement comme nous le disons plus haut.

Le canton de Sées possède une donation spéciale

et c'est pour cela que chaque, année a lieu ici le

Concours Loutreùil.

C'est sous un magnifique soleil que s'est déroulé

le concours qui, comme toujours, fut très intéressant. On a cependant constaté moins d'exposants dans la catégorie des produits agricoles et

de jardin.

Une industrie nouvellement constituée à Sées

avait pxposé des agglomérés en sable et gravier

des carrières des Choux, ces matériaux de construction, particulièrement ceux ornementés, fu

rent très admirés et leur constructeur, M. Murchet, reçut les éloges les plus flatteurs.

M. Bidet, tonnelier, rue Billy, exposait une

baratté pétrin conçue et fabriquée par lui. Cette

baratte offre cette particularité d'être très simple

d'abord, de baratter n'importe quelle quantité en

15 minutes et d'être d'un prix abordable. M.

Bidet a reçu de ceux qui ont admiré cet appareil les compliments mérités.

Le banquet était présidé par M. Oriot, sénateur,

président de la Société d'Agriculture : M. Perret,

conseiller de préfecture, représentait M. le Préfet.

Remarqués : M. Hubert, maire de Sées ; Lepître,

conseiller général ; M. Lorel, conseiller d'arrondissement ; M. Blondeau, juge de paix, et de nombreuses notabilités. Deux discours ont été prononcés ; le premier par M. Oriot qui a félicité les

exposants et. encouragé l'agriculture, le second

par M. Perret qui a rendu hommage au fondateur

du concours, M. I.outreuii. et a encouragé les

agriculteurs à souscrire à l'emprunt.

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Le soleil 1911.

 

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Courrier de Saône-et-Loire, 17 novembre 1913

 

 

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Le petit caporal 1911

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 M. Auguste LOUTREUIL Institutrices chargées de direction d'école A Brésolettes, Mme Rousseau, de Mênil-Bérard. A Ménil-Bérard, Mlle Aubert, des Genet-les. Instituteurs adjoints A Chanu, M. Eluard, d'Athis. A Laigle, (emploi nouveau), M. Bouillard, de Ceton. Institutrice adjointe A Fiers (Sévigné), Mme Denis, de Chanu. Couterne L'AFFAIRE ROCHER. — Dans son audience du 16 février dernier, le tribunal d'Alençon a rendu son jugement dans 1'aflaire des époux Rocher, anciens cultivateurs à Ha-leine, poursuivis pour falsification de lait. M. Hocher est acquitté ; quant à Mme Rocher, elle est reconnue coupable — avec beaucoup de circonstances atténuantes — et condamnée à 50 francs d'amende. Est-ce le point final mis à cette trop fa-meuse ad lire dite des Empoisonnements de Couterne ? Méhoudin Buis DE CLÔTURE. — M. Victor Morice, cul-tivateur à la Bouderie, voulant supprimer un sentier qui traversait inopportunément ses pièces de terre, plaça récemment deux lourdes barrières et planta une' haie d'épi-nes. La nuit de samedi à dimanche les bar-rières ont été renversées et la haie arrachée. Saint-Michel des-Andaines ELECTION' DU MAIRE. — Dimanche dernier, le Conseil municipal de Saint-Michel-des-Andainos a procédé à l'élection du Maire. A la presque unanimité des voix, M. Mi-chel Barré, notaire à la Sauvagère, récem-ment élu conseiller municipal de St-Michel, a été élu maire de cette commune. NECROLOGIE Le vendredi 17 février ont eu lieu à Paris, les obsèques de M. Auguste Loutreuil, le grand industriel de Moscou, décédé il y a quelques jours. M. Loutreuil président d'honneur de la Société d'Agriculture de l'Orne, était origi-naire du canton de Sées. Il avait conquis par son travail et son intelligence une situa-tion considérable en Russie. 11 y a quelques semaines le Gouvernement français l'avait promu officier de la Légion d'Honneur ; il était en outre chevalier de l'Ordre impérial de Saint-Stanislas de Russie, officier d'aca-démie, chevalier du mérite agricole. Sa santé affaiblie depuis quelques mois, l'avait obligé à aUer prendre du repos en Suisse, à Valmont-sur-Territel. C'est là que la mort est venue le frapper le 7 février der-nier. Le service religieux a été célébré àl'église Saint-Augustin à 10 heures du matin, en présence d'une foule d'amis venus pour af-firmer une dernière fois leur sympathique attachement au défunt et l'accompagner à sa sépulture. Dans l'assistance, en dehors de la famille et de M. et Mme Bauchon, amis dévoués du défunt, nous avons remarqué : MM. les Sénateurs Labbé et Fleury, M. Noblemaire, ancien président de la Cie P. L. M., M. Solacroup ingénieur en chef des Ponts et Chaussées, M. Salles, ancien député maire de Fiers, M. Oriot, président delà Société d'agriculture de l'Orne, M. Henri Corbière, maire de Nonant-le-Pin, fondateur de la Société d'agriculture, M. A. Salles, président des Normands de Paris, M.Mourlot, inspecteur d'académie de l'Oise, précédemment dans l'Orne ; M. Leclerc, principal du Collège de Sées, M. Langlais professeur départemental d'agriculture de l'Orne, M. Louvel, professeur d'agriculture à Argentan, Mme Vve Marigny, M. Ray-mond Marigny, M. et Mme Ernest Corbière, M. le Dr Chapron, de Genève, M. le Dr Joly, de Bagnoles, M. Biou, notaire à Sées, M. Richard, etc.. etc.. et un grand nombre de délégués de Sociétés russes dont M. Lou-treuil était fondateur, des représentants des grandes sociétés financières de Paris. La Société des « Normands de Paris •, dont M. Loutreuil était bienfaiteur, était représentée par MM. A. Salles, président, Guiflard, vice-président, Damin et Piednoël, anciens vice-présidents, Lefebvre, secrétaire-adjoint, Dusaussay, trésorier, Josset, Lin-den, Moreau et Rottée, membres ou anciens membres du comité. La Société d'agriculture de l'Orne s'élait fait également représentée par une nom-breuse délégation. Après le service religieux le corps a été conduit au cimetière du Père-Lachaise. Des discours ont été prononcés par MM. Oriot, au nom de la Société d'agriculture de l'Orne, Salles, maire de Fiers, au nom du département de l'Orne, A. Salles, président des Normands de Paris, au nom de cette Société et enfin par M. Noblemaire, comme ami de M. Loutreuil.

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Ministère des affaires étrangères.

 

Par décret du Président de la République

en date du 31 décembre 1910, rendu sur la

proposition du ministre des affaires étran-

gères, et vu la déclaration du conseil de

l'ordre de la Légion d'honneur du 30 décem-

bre 191), portant que les promotion et

nominations comprises dans le présent dé-

cret sont faites en conformité des lois, dé-

crets et règlements en vigueur, sont promu

ou nommés dans l'ordre national de la

Légion d'honneur :

Au grade d'officier.

 

M. Loutreuil (Auguste-Tranquille), indus-

triel à Moscou : services dévoués rendus

aux œuvres françaises. Chevalier du 14 dé-

cembre 1900.

 

Au grade de chevalier.

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..Moscou, un locataire universel de M. Auguste Loutreuil vient de donner à la Société d'Agriculture de l'Orne 2.650.000 francs pour perpétuer  le souvenir de M. Loutreuil, son ami et bienfaiteur.... 'je n'ai pas pu trouver l'article..il est pourtant cité dans L'Action du 1913/11/13.

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Bulletin de la Société historique et archéologique de l'Orne Société historique et archéologique de l'Orne. Extrait.

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Alençon. 12 novembre.1913 — M. Bauchon,

ancien industriel à Moscou, légataire uni-

versel de ,M. Auguste Loutreuil, vient de

donner à la Société d'Agriculture de l'Orne

2,650,000 francs pour perpétuer le souve-

nir de M. Loutreuil, son ami et bienfai-

teur.

 

Les revenus sont affectés à subvention-

ner des œuvres agricoles et philanthropi-

ques.

Par une donation de 1911, M. Loutreuil

avait légué 100.000 francs à l'Institut Pas-

teur un million à la Caisse des recherches

scientifiques, deux millions et demi a

vers,ité de Paris et trois millions et demi à

l'Académie des sciences.

 

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 lien sur gallica

 Pdf Bulletin de la Société historique et archéologique de l'Orne Société historique et archéologique de l'Orne. 

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Sité Annuaire  Société des ingénieurs civils de France.

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14 jan 1911.On annonce la mort, à Valmont (Suisse), de M.

Auguste Loutreuil, ancien industriel à Moscou. Fils

de ses œuvres, M. Loutreuil a été, pendant presque

un demi-siècle, à la tête de toutes les œuvres de

progrès et institutions philanthropiques de Moscou.

[1 fut de ceux qui en Russie ont fait le plus pour

l'expansion de l'influence française. Il avait été le

mois dernier promu officier de la Légion d'honneur. 

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la croix 1911 Triste hommage, un peu trop d'ailleurs..

 

Sept millions

 

pour la science française

Un Français, M. Loutreuil, fils d'un

pauvre cultivateur de l'Orne, qui s'était

expatrié en Russie, vient de mourir à Mos-

cou après y être devenu plusieurs fois millionnaire.

 

Par testament, iL a légué 40 0000 francs

à l'Institut Pasteur, un million à la Caisse

des recherches scientifiques, 2 500 000 à

l'Université de Paris, 3 500 000 francs à

l'Académie des sciences!

Le nom de M. Loutreuil, parti de son vil-

lage sachant tout juste lire, puis devenu, à

force de travail et d'efforts, un des rois de

l'industrie moscovite, mérite de rester dans

toutes les mémoires françaises.

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Gallica 1911

 

Legs Loutreuil.

 

Aux termes de ses testaments et codicilles olographes, en date

du .12 mars 1906 et 10 juillet 1906, déposés en l'étude de Me Thion

de la Chaume, notaire à Paris, et de ses trois codicilles mys-

tiques, en date du 15 juillet 1910, déposés en l'étude de Me Cattin,

notaire à Annecy, M. Auguste-Tranquille Loutreuil, en son vivant

demeurant à Paris, 18, rue de Lisbonne, décédé à Valmont (Suisse)

le 7 février 1911, a fait notamment les dispositions dont la teneur

littérale suit :

 

« 12 mars 1906. —- Je lègue à l'Institut Pasteur à Paris, la

somme de cent mille francs dont les revenus seront employés à

encourager les découvertes et recherches susceptibles de guérir

la fièvre aphteuse dite « Cocotte » et tontes les-maladies infec-

tieuses des bestiaux, chevaux, porcs, moutons, ainsi que le choléra

des volailles.

 

« Les prix seront décernés sous mon nom par l'institut Pas-

teur.

 

« 12 juillet 1906. — Je lègue à l'association Valentin Hauy

, pour le bien des aveugles dont le siège actuel est à Paris 9 rue

Duroc, la somme de cent mille francs nette de tous droits de mutation.

 

« 15 juillet 1910. — Je lègue à la Caisse des recherches

 

scientifiques, instituée par la loi du 14 juillet mil neuf cent un,

la somme de un million de francs.

 

« .. .le revenu annuel de mon legs sera affecté à encourager les

recherches qui ont pour objet les autres sciences et dont connaît

là deuxième section de la dite commission. Le présent legs est

subordonné à la condition qu'il sera exempt de tous droits de

mutation au profit de l'Etat sauf le droit fixe d'enregistrement.

 

« A défaut de cette condition essentielle, il serait considéré

, comme nul et non avenu.:....

 

« 2e Codicille Je lègue à l'Université de Paris représentée

 

par son Conseil, la somme de deux millions cinq cent mille

francs.,...

 

« 1° Le revenu annuel de cette somme sera consacré à encou-

rager, dans les universités de Paris et de province le progrès des

sciences de toute nature.

« 2° L'emploi de ce revenu annuel sera décidé par le Conseil de

l'Université de Paris, sur l'avis préalablement exprimé d'une

commission consultative, composée du

 

« 4° Le présent legs est subordonné à la condition qu'il sera

exempt de tous droits de mutation au profit de l'Etat, sauf le droit

fixe d'enregistrement. A défaut de cette condition essentielle, il

serait considéré comme nul et non avenu.

 

« 3e codicille Je lègue à l'Académie des sciences la somme

 

de trois millions cinq cent mille francs. »

 

« 1° Le revenu annuel de cette somme sera consacré à encou-

rager dans les établissements de haute culture scientifique de

Paris et de province (autres que les universités), ainsi que par

les savants et chercheurs libres, indépendants de ces établisse-

ments, le progrès des sciences de toute nature.....

 

« 4° Le présent legs est subordonné à la condition qu'il sera

exempt de tous droits de mutation au profit de l'Etat, sauf le

droit fixe d'enregistrement. A défaut de cette condition essen-

tielle, il serait considéré comme nul et non avenu. >

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Quelques articles de presses

Dimanche 16 Novembre 1913 'le figaro)

LES BRAVES GENS

 

Un beau geste... posthume

 

Il y a trente mois, exactement le 6 mars 1911, le racontait à ses

 

lecteurs,- qui s'y connaissent en artions

généreuses et nobles, l'histoire mémo-

rable de ce fils de maréchal ferrant or-

nais, Auguste-Tranquille'Loutreuil, qui,

parti sans; le sou de son village natal,

avait amassé une fort belle fortune dans

les affaires en Russie et tenait à Moscou la

première placé dans la colonie française,

et qui avait légué une bonne partie de sa

fortune - sept millions- à la science

française, tout simplement. L'enquête,

faite sur place, paraissait complète, dé-

finitive. Eh ! non, elle ne l'était pas. Il

devait y avoir un codicille au testament

officieux. M. Noblemaire et M. Liard,

qui avaient été, croit-on, les conseillers

de ce bon Français, n'avaient pas épuisé

l'ardeur généreuse du donateur.

 

M. Loutreuil n'avait point oublié cette

terre de Normandie, à laquelle il restait

attaché de toute sa tendresse active ; ni

son canton de Sées, pour lequel il avait

fondé, il y a dix ans, une chaire de chi-

mie agricole au collège; ni l'agriculture,

à laquelle il s'intéressait si passionné-

ment par une sorte d'atavisme latent.

 

Et voilà que, sa fortune ayant été réa-

lisée par les soins diligents de son exé-

cuteur testamentaire, un nouveau legs

de 2,650,000'francs vient s'ajouter aux

7,200,000 francs déjà offerts. Soit un

total de près de 10 millions - un beau

denier, n'est-il pas vrai? et dépensé en

hardies et originales initiatives. Après

la science, l'agriculture. Par acte dû-

ment enregistré par-devant notaire,

150,000 francs vont au canton de Sées;

la petite ville de Sées reçoit pour son

hospice et son service d'adduction d'eaux

350,000 francs ; le reste, un peu plus de

2 millions, est donné à la Société d'agri-

culture de l'Orne, hier une des plus

actives, demain une des plus riches de

France.

 

A la science les milliardaires ou mil-

lionnaires songeaient parfois, depuis

surtout que réminent recteur de Paris a

fait dériver de ce côté les fortunes sans

emploi'; l'un d'eux un grand indus-

triel, s'il vous plaît- se retourne en

mourant vers la terre des aïeux, la terre

nourricière, si éprouvée par les deux

fléaux de l'alcoolisme et de la dépopula-

tion et demeurée pourtant si attirante et

si féconde... Chose, rare entre toutes,

quasi inédite': cette fois, c'est pour les se-

meurs du sol qu'un petit-fils de paysan

 

aura semé les millions.

 

 

 Auguste Tranquille LOUTREUIL   lien base perso cgs61

Né le 6 décembre 1833 - Neuville pres Sees (61)

Décédé le 7 février 1911 - Valmonr sur Territet (Suisse), à l'âge de 77 ans

Inhumé le 18 février 1911 - Paris (75) Inhumation Le pere Lachaise

Industriel a Moscou.

Parents

Jacques Auguste Honoré LOUTREUIL 1797

 et 

Marie Jeanne Victoire MEUNIER 1799

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Notes individuelles

1900 Domicilié a Moscou , industriel, Vice president du comité Francais de bienfaisance de Moscou. Employé de la societé, Concessionnaire du chemin de fer de Moscou a Nijhy. Chef de comptabilité de la societé des chemins de fer Russes. Creations de nombreuses industries.

 

Brasserie, 3 sucreries, 2 raffineries, 1 societé de ciment. et autres

 

**** Etat de service en RUSSIE Engagé en France a Paris en 1857, par la societé de chemin de fers Russes, chef de comptabilité, puis administeur de la ligne Moscou / Niny, chef du service financier de 1861 a 1873, Décoré de l'ordre de St Stanislas, 3eme classe,

*********** Partie Industriel. Membre fondateur de la compagnie de location de wagons Francais 'la premiere en Europe) 1869 a 1874. Membre fondateur de 3 sucreries Russes,1866 a 1871. Fondateur de la manufacture d' Indienne Albert Hubner.et directeur pendant 20 ans. Membre fondateur de la manufacture Rabanek 1871 . Membre des sucreries Francaises. 4 en france, de 1870 a 1893. Fondateur de la brasserie " les trois montagnes" a Moscou en 1883. Fondateur-directeur de la société Moscovite des ciments de Podolsk en 1878. Fondateur de la societé de production des soudes en 1887.

************** Representant libre pour l'introduction en Russie des produits industriels et mécaniques.

*********** Société Philantropiques. Bienfaisance de Moscou. fondateur societe Francaise de Secours Mutuel de Moscou.

********** FRANCE.

1°Création a Sées en 1885 a ses frais d'un champs de démonstration et d'experiences Agricoles. 2°Concours Agricole Annuel 3° carte agronomique du canton de Sées,

 

***********Né le 6 décembre 1833 - Neuville pres Sees (61)

 

Décédé le 7 février 1911 - Valmonr sur Territet (Suisse), à l'âge de 77 ans

Inhumé le 18 février 1911 - Paris (75) Inhumation Le pere Lachaise

 

1°Création a Sées en 1885 a ses frais d'un champs de démonstration et d'experiences Agricoles. 2°Concours Agricole Annuel 3° carte agronomique du canton de Sées,

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 Ministere des affaires étrangere concernant etat de faits 

Etat de fait en RUSSIE

 

 

 Etat de Fait France

Reste lettre privées et attestation chevalier de la legion d'honneurs a venir