-
Dans la longue liste des cousins célébres, je vais essayer une petite liste..
La famille est grande et tres lointaine dans le temps.
************************************************
Par Nina ma petite fille
Nina LE MENUET DE LA JUGANNIÈRE est une descendante à la 9e génération de Pierre LE MENUET DE LA JUGANNIÈRE, , Seigneur de la Juganniere.
Naissance : 10/09/1746Décès : 15/08/1835
Magistrat et homme politique français.
**********************************
Nina LE MENUET DE LA JUGANNIÈRE est une arrière-petite-fille d'un cousin au 7e degré d'André Jules DESMULLIEZ.
André DESMULLIEZ
Naissance : 06/03/1914Décès : 01/10/1994
Homme politique français, député du Nord
**********
Ernest Eugène FESSARD COQUIN
dit JEHAN LE POVREMOYNE
Né le 14 avril 1903 - Le Havre (76)
Décédé le 10 avril 1970 - Le Tréport (76), à l'âge de 66 ans
Maire de Robertot (76), ecrivain normand conteur cauchois
************
Pénélope LEPRÉVOST
Née le 1er août 1980 - Rouen (76)
Cavalière, spécialiste du saut d'obstacles, vice-championne du monde par équipes 2010 et 2014, championne olympique par équipes 2016
**************************
Nina LE MENUET DE LA JUGANNIÈRE est une petite-fille d'un cousin au 9e degré de Guy DRUT.
Guy DRUT
Naissance : 06/12/1950
Champion olympique du 110 mètres haies, ministre de la Jeunesse et des Sports.
*****
Nina LE MENUET DE LA JUGANNIÈRE est une arrière-petite-fille d'un cousin au 8e degré de Valérie LEMERCIER.
Née le 9 mars 1964 - Dieppe (76)
Actrice, humoriste, scénariste, réalisatrice.
*************************
Nina LE MENUET DE LA JUGANNIÈRE est une petite-fille d'une cousine au 9e degré de Thomas PESQUET
Thomas PESQUET
Naissance : 27/02/1978
Spationaute français de l'Agence spatiale européenne
****
Nina LE MENUET DE LA JUGANNIÈRE est une petite-fille d'une cousine au 9e degré de Noël HOWARD
Noël HOWARD
Naissance : 26/12/1920Décès : 07/02/1987
Réalisateur américain
Réalisateur américain.
******
Auguste Joseph RENAULT
Naissance : 06/12/1897Décès : 11/11/1918
Cultivateur, dernier soldat mort lors de la Première Guerre mondiale.
********
Raoul PLOQUIN
Naissance : 30/05/1900Décès : 29/11/1992
Producteur, scénariste et réalisateur français
*********
Hélène SURGERE
Hélène Marcelle Simone COLLET
Née le 20 octobre 1928 - Caudéran (33)
Décédée le 27 mars 2011 - Paris (12e), à l'âge de 82 ans
Actrice française, pensionnaire de la Comédie-Française
********
Alexandre Léon ETARD
Sosa : 8
Né le 6 janvier 1852 - Alençon 61
Décédé le 1er mai 1910 - Paris 75, à l'âge de 58 ans
Chimiste.
******
Nina LE MENUET DE LA JUGANNIÈRE est une arrière-petite-fille d'un cousin au 10e degré de Thérèse COQUERELLE.
Allias Isabelle AUBRET
Née le 27 juillet 1938 - Lille, 59350, Nord, Nord-Pas-de-Calais, France
Âge : 83 ans
Chanteuse.
******
Nina LE MENUET DE LA JUGANNIÈRE est une arrière-petite-fille d'un cousin au 10e degré de Lou DE LAAGE DE MEUX.
Née le 27 avril 1990 - Bordeaux (33)
Actrice Francaise
*****************
D'autres sont a venir suite prochainement
votre commentaire
-
Marc Bry
photos, actes sur base cgs61
Marc Emile Roger BRY
Né le 3 février 1910 - Essay (61)
Décédé le 18 octobre 2001 - Alençon (61), à l'âge de 91 ans
Photographe
Notes individuelles
dom. rue basses ruelles a Alencon en 1929. A 19 ans, il s’initie à la photographie. Cette activité devient alors sa passion et c’est avec un plaisir évident qu’il photographie ses proches, ses loisirs, les lieux qu’il affectionne.
****
Parents
Vital Albert BRY
Né le 4 juillet 1875 - Louzes (72)
Domestique
et Mariée le 26 avril 1902, Essay (61)
avec Juliette Constance Vitaline CHEVALIER
Née le 20 mars 1885 - Essay (61)
Domestique
Grand parents de Marc
Gustave CHEVALIER
Né vers 11 mars 1854 - Belleme (61)
Décédé après 1930
Journalier
marié le 26 octobre 1879, Essay (61),
avec Augustine Clémentine GRIMOIS
Née le 27 avril 1849 - Essay (61)
Décédée après 1930
Grand-mère de Marc Bry
votre commentaire
-
Albert Henri Emile ROGER
Né le 8 juillet 1900 - Courtomer (61)
Décédé vers mars 1945 - Neuengamm (D), à l'âge d'environ 44 ans
Cultivateur
fils de
Constant Emile François ROGER
Né le 9 février 1865 - Courtomer (61)
Décédé le 11 juin 1932 - Courtomer (61), à l'âge de 67 ans
Inhumé le 15 juin 1932 - Courtomer (61)
Cultivateur
et (Mariée le 11 juin 1894, Ferrières-la-Verrerie (61))
Alexandrine Marie BOSCHER
Née le 1er septembre 1876 - Ferrières-la-Verrerie (61)
Décédée le 12 janvier 1945 - Courtomer (61), à l'âge de 68 ans
Inhumée - Courtomer (61)
****************************
Albert Henri Emile résistant
http://www.museedelaresistanceenligne.org/musee/doc/pdf/ressource_source/SHDGR_16P_R.pdf page 427
Décès - Neuengamm (D)
Neuengamm est un camp de concentration (en allemand : Konzentrationslager), établi le 13 décembre 1938 , au sud-est de Hambourg
29 avril 1953 : Décoration - Courtomer (61)
Médaille Ordre de la Libération JO : 07/05/1953. Conflit : Guerre 1939-1945 Cote famille : GR Sous série : 16 Serie : P Article : 517246** Matricule : 39550 classe 1920 Alencon.
Notes individuelles
résistant, arrêté chez lui par des français à la solde de la Gestapo le 14 juin 1944 en même temps que 18 autres résistants de la région. Déporté à Neuegamme, il décéde le 30 mars 1945.
Carrière Famille résistance forces françaises combattantes (FFC), déportés et internés de la résistance (DIR), forces françaises de l’intérieur (FFI) Nom du réseau des forces françaises combattantes TURMA-VENGEANCE.
acte naissance 1900
Article
fiche d'incorporation militaire 1920
REC Courtomer 1906
votre commentaire
-
http://genealogie.demeautis.free.fr/page.php?page=106
Le dernier fils de Richard I de Mary le Vieul, Onfroi I de Bohon le Vieil, naquit au tout début du
XIème siècle et reçu en partage le fief des Bohons. Une charte probablement rédigée vers 1060
(entre 1049 et 1066) et relative au prieuré de Saint-Georges-de-Bohon, nous permet d’identifier
clairement sa mère, Billeheude de Mary. Il est principalement connu pour avoir fondé le prieuré de
Bohon et pour avoir été un des compagnons du duc Guillaume à Hastings, ce qui lui apporta gloire et
honneur. On le trouve mentionné dans les vieilles chartes anglaises sous le nom de « [...] Humfridus
cum barba » (Onfroi le barbu ou Onfroi avec la barbe), car contrairement à la coutume des normands
de cette époque, il portait une longue barbe.
pdf sortie de la genealogie Demeautis
voir aussi mon lien
votre commentaire
-
Sacha GUITRY
(Alexandre Georges Pierre GUITRY)
Né le 21 février 1885 - Saint-Pétersbourg
Décédé le 24 juillet 1957 - Paris (75), à l'âge de 72 ans
Acteur, dramaturge, metteur en scène, réalisateur et scénariste
Union(s)
Marié le 14 août 1907, Honfleur (14), avec Charlotte LYSES
Marié le 10 avril 1919, Paris (75), avec Yvonne PRINTEMPS 1894-1977 (témoins : Sarah BERNHARDT , Georges FEYDEAU , Tristan BERNARD )
Marié le 21 février 1935, Paris (75), avec Jacqueline DELUBAC 1907-1997
Marié le 4 juillet 1939, Fontenay-le-Fleury (78), avec Geneviève de SEREVILLE 1914-1963
Marié le 25 novembre 1949, Paris (75), avec Lana MARCONI 1917-1990 (témoin : Alix MADIS )
Parents Lucien Germain GUITRY (comedien) lien genealogique
BIOGRAPHIE
Georges-Alexandre Guitry, qui adoptera très tôt le diminutif Sacha, naît en Russie car son père Lucien, illustre comédien, fait partie de la troupe du théâtre français de Saint-Petersbourg. Il a à peine deux ans quand ses parents se séparent -sa mère étant une comédienne bien moins connue, Renée de Pontry. Il apparaît sur les planches dès l'âge de 5 ans, dans le rôle du fils d'un Pierrot interprété par son père. S'il aime fréquenter l'univers du théâtre, Sacha est en revanche un élève médiocre et turbulent, qui ne reste jamais très longtemps dans le même établissement scolaire. Auteur d'une première pièce, Le Page, en 1901, il connait le succès avec la suivante, Nono, en 1905. Au même moment, il se brouille avec son père, avant d'épouser en 1907 Charlotte Lysés, qui fut d'abord la maîtresse de ce dernier.
Un temps illustrateur pour des publicités, Sacha Guitry fait ses débuts au cinéma en signant en 1915 un documentaire en forme de célébration des artistes français, Ceux de chez nous. Il écrit en 1917 le scénario de "Un roman d'amour et d'aventures" (dont il est aussi le héros) mais méprise encore le 7e art. Il devient alors une figure majeure du théâtre, à la fois comme dramaturge et comme acteur plein de charme et d'humour. Si plusieurs de ses pièces caustiques sont adaptées à l'écran par d'autres dans les années 20, lui ne se collera à l'exercice qu'en 1935 avec "Pasteur". Suivront entre autres Le Nouveau Testament, Mon père avait raison ou encore Faisons un reve (1936), dans lequel ce réputé misogyne filme tendrement Jacqueline Delubac, la troisième de ses cinq épouses.
Amoureux des mots, Guitry utilise aussi à merveille les moyens propres au cinéma, comme le prouvent Bonne Chance (1935), une comédie bourrée de trouvailles, et surtout Le Roman d'un tricheur en 1936. Cet autoportrait virtuose d'un voleur a bluffé Orson Welles et les cinéastes de la Nouvelle Vague, grâce notamment à son usage novateur de la voix off. Roi du déguisement au phrasé inimitable, il s'offre plusieurs rôles dans Les Perles de la couronne en 1937. Ce film est le premier d'une série de fresques historiques très personnelles, qui valent moins pour leur fidélité aux faits que pour leur fantaisie, et pour la quantité de stars qui y défilent, de Jean Gabin à Jean Marais en passant par Gaby Morlay. Suivront ainsi Remontons les Champs-Elysees (1938) et plus tard Si Versailles m'était conté... (1953) ou Si Paris nous était conté (1955).
Continuant de pratiquer son art dans la France occupée -raison pour laquelle il sera emprisonné pendant deux mois à la Libération, et sévèrement critiqué -, il réalise pendant la guerre le film à sketchs Ils etaient neuf celibataires puis Le Destin fabuleux de Desiree Clary, romance centrée sur une fiancée de Napoléon - il consacrera un long métrage à la vie de l'Empereur en 1955. Créateur égocentrique qui joue dans la plupart de ses films (il incarne même son propre rôle et celui de son père dans Le Comédien en 1947), Guitry se montre généreux avec les autres acteurs, tels sa grande complice Pauline Carton, Fernandel, ou encore Michel Simon, qui fait l'une de ses plus belles compositions dans le féroce La Poison en 1947. Car après-guerre, si la légèreté est toujours présente, elle se teinte de noirceur et de cynisme (La Vie d'un honnête homme, Assassins et voleurs). Diminué par la maladie, il ne peut réaliser seul son dernier film, Les Trois font la paire (1955). Loin de se limiter, comme on a pu le dire à son époque, à du théâtre filmé, l'oeuvre de Sacha Guitry, par son élégante désinvolture et sa dimension inclassable, apparaît aujourd'hui comme l'une des plus précieuses du cinéma français.
votre commentaire
Suivre le flux RSS des articles
Suivre le flux RSS des commentaires